Istrya, univers d'imaginaire

Développons le rêve par le jeu de rôles

L/Présentation

Les Loups Garous d'Istrya est une variante du jeu Mafia.

Le charmant vilage de Trhouperd'ü

Dans le monde d'Istrya se trouve un village très accueillant du nom de Trhouperd'ü, les voyageurs y sont les bienvenus, en effet il est rare d'en voir ces derniers temps.

Vous en faites parti? Pourquoi sont-ils rares? Vous n'avez donc pas entendus parler des mauvaise nouvelles? Il vaut peut-être mieux, mais n'ayez crainte les mauvaises choses n'arrivent qu'une fois par nuit, et l'on pense arriver à s'en débarasser. Vous verrez, tout se passera bien.

Ce n'est que plus tard que vous apprendrez que chaque nuit un villageois se fait dévorer par des Loups Garous. Les Experts de Chique Kago ne feront leur apparition que dans quelques centaines d'années, et les villageois ne doivent se reposer que sur leur intime conviction pour désigner qui est un Loup Garou (en journée ils ressemblent à de simples villageois). Mais pas de crainte à avoir, le village est sous régime démocratique, et c'est donc dans toute la justice du vote à main levé que les villageois indiqueront leur nouvelle victime coupable. Et ce sera avec la sérénité d'avoir accompli une bonne action que le lycanthrope sera éliminé.

Règles

Le jeu se déroule en tour par tour, un tour est divisé en phase (la phase de nuit où les loups garous se réveillent et la phase de jour où les villageois se réveillent, prennent le petit déjeuner et finissent par ce rendre compte que quelqu'un manque).

Rôles

De jour tous les joueurs agissent comme d'innocents villageois (ou peuvent bluffer selon l'envie).

  • Le villageois: c'est un simple citoyen et une très bonne source de protéines pour les Loups.
  • Le loup garou: simple humain de jour, véritable loubard une fois la nuit déclarée. Les loups sont partageurs et ne se nourrissent que d'une victime le soir

Évolution du jeu

Le jeu ne demande qu'à évoluer d'après vos suggestions, ainsi d'autres personnages peuvent être intégrés


Dessin par Carlos Cara, sous licence creative commons.